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Bienvenue sur ''Plume de Vie'', le blog de Florence Pungong.

"Plume de Vie" propose une réflexion différente et profonde sur le sens de la foi chrétienne.

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Bonne visite et que Dieu vous bénisse !

Florence P.
En CHRIST JESUS Seul...

lundi 28 janvier 2013

Comprends-tu vraiment ce que tu vois ?

 

Jn 20:1-17, « Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sépulcre dès le matin, comme il faisait encore obscur; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre. Elle courut vers Simon Pierre et vers l'autre disciple que Jésus aimait, et leur dit: Ils ont enlevé du sépulcre le Seigneur, et nous ne savons où ils l'ont mis. Pierre et l'autre disciple sortirent, et allèrent au sépulcre. Ils couraient tous deux ensemble. Mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre, et arriva le premier au sépulcre; s'étant baissé, il vit les bandes qui étaient à terre, cependant il n'entra pas. Simon Pierre, qui le suivait, arriva et entra dans le sépulcre; il vit les bandes qui étaient à terre, et le linge qu'on avait mis sur la tête de Jésus, non pas avec les bandes, mais plié dans un lieu à part. Alors l'autre disciple, qui était arrivé le premier au sépulcre, entra aussi; et il vit, et il crut. 9 Car ils ne comprenaient pas encore que, selon l'Écriture, Jésus devait ressusciter des morts. Et les disciples s'en retournèrent chez eux. Cependant Marie se tenait dehors près du sépulcre, et pleurait. Comme elle pleurait, elle se baissa pour regarder dans le sépulcre; et elle vit deux anges vêtus de blanc, assis à la place où avait été couché le corps de Jésus, l'un à la tête, l'autre aux pieds. Ils lui dirent: Femme, pourquoi pleures-tu? Elle leur répondit: Parce qu'ils ont enlevé mon Seigneur, et je ne sais où ils l'ont mis. En disant cela, elle se retourna, et elle vit Jésus debout; mais elle ne savait pas que c'était Jésus. Jésus lui dit: Femme, pourquoi pleures-tu? Qui cherches-tu? Elle, pensant que c'était le jardinier, lui dit: Seigneur, si c'est toi qui l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis, et je le prendrai. Jésus lui dit: Marie! Elle se retourna, et lui dit en hébreu: Rabbouni! c'est-à-dire, Maître! Jésus lui dit: Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »

Voilà trois réactions différentes devant une vision. Tout d’abord, Marie de Magadala voit quelque chose, la pierre du tombeau de Jésus a bougé. Sans regarder à l’intérieur ou quoique ce soit, elle file dire aux apôtres qu’on a enlevé le corps du Seigneur! Avait-on enlevé Son corps ? Non ! Elle a bien vu quelque chose, mais elle l’a mal interprété. Nous sommes régulièrement témoins de ce genre de situation presque : quelqu’un voit ou entend un bout de scène et écrit tout un scénario autour, pour ensuite reconnaitre s’être trompé.

L’ayant écoutée, deux disciples décident immédiatement de se rendre sur les lieux. Le premier qui arrive regarde plus loin que la pierre roulée : il voit les bandes qui enveloppaient le corps du Seigneur (coutume orientale), mais il n’entre pas dans le tombeau. J’imagine qu’il a peur. Pierre, lui, est bien déterminé à en avoir le cœur net. Il entre dans le sépulcre et voit encore plus que l’autre disciple : en plus de la pierre roulée et des bandes, il voit aussi le linge qu'on avait mis sur la tête de Jésus, plié dans un coin. Comme rien n’était arrivé à Pierre, l’autre disciple prend courage et entre aussi dans le sépulcre. Il voit et il croit. Super ! Mais, il croit quoi ? Car le verset 9 nous dit ensuite qu’ils ne comprenaient pas encore que Jésus devait ressusciter des morts. Ils ont donc vu la pierre, les bandes et le linge et ont cru comme Marie, que quelqu’un avait déplacé le corps du Maître, mais ils ne sont pas allés plus loin dans leurs investigations et sont rentrés chez eux.

Marie reste. Elle pleure. Elle veut désespérément savoir ce qui est arrivé au corps de Jésus. Elle ne veut pas partir de là sans réponse. Elle a appelé les apôtres, ils sont venus, mais n’ont pu lui expliquer ce qui se passait. Elle se soucie vraiment du corps du Seigneur. Pour preuve, dès que le Sabbat est fini, elle a couru au tombeau très tôt le matin. Elle est désespérée. Elle veut une réponse et elle est déterminée à ne pas retourner chez elle sans accomplir ce qu’elle est venue faire. Elle regarde donc à l’intérieur du sépulcre et voit deux anges, puis, se retournant de nouveau, elle voit le Seigneur qui lui explique enfin le mystère.

Comme ces trois personnages, j’ai moi aussi trop souvent sauté sur les conclusions. En effet, cette histoire m’a fait pensé à toutes les fois où j’ai trop rapidement cru avoir compris ce que signifiaient certains de mes songes/visions. Ces fois où j’ai interprété trop rapidement ce que j’avais vu. Les fois où je me suis dit après coup (quand le sens est devenu évident où que les choses semblent évoluer différemment de ce que j’attendais), que j’aurais dû rester sur place comme Marie et insister dans la prière pour que le Seigneur m’explique ce qu’Il avait bien voulu me dire. Toutes ces fois où j’ai bien vu quelque chose en songe/ vision, où j’ai cru Dieu et ce que j’avais vu, mais où je n’avais rien compris (ou si peu)...

Es-tu certain(e) que ce que tu as vu en esprit ou en plein jour, signifie vraiment ce que tu crois ? Je prie pour que tu sois sage.

Voici deux photos de ce que les protestants considèrent comme la tombe du Seigneur à Jérusalem (entrée et intérieur). Je les ai prises lors d’un récent voyage en Terre Sainte.

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Excellent semaine en CHRIST JESUS!

lundi 21 janvier 2013

Investir dans la préparation

 

Une fois de plus, la neige est arrivée en Europe et une fois de plus, elle a ‘surpris’ tout le monde. On peut logiquement s’étonner que le même scénario n’arrête pas de se répéter année après année, avec toujours les mêmes effets : aéroports et écoles fermés, bus à l’arrêt, trains et métros en service minimum, Administrations publiques et commerces presque vides de leurs employés. Bien entendu avec l’impact désastreux que tout ceci a sur l’économie et le contribuable.

Je peux comprendre que l’on soit obligé de fermer un aéroport, mais je comprends difficilement le reste. Je m’explique : le Canada, les Etats Unis (certains états), la Russie, pour ne citer que ceux-là, ont des hivers beaucoup plus rudes que l’Europe, et la vie continue pourtant normalement là-bas. Il y a longtemps qu’ils ont fait tout ce qu’il fallait pour que leur pays ne soit pas paralysé chaque fois qu’il neige un peu. En Europe, on admire ce qu’ils ont fait, on en parle, mais on ne fait pas les investissements nécessaires pour obtenir les mêmes (bons) résultats. Les gens préfèrent attendre le dernier moment, savoir si l’hiver sera rude, avant de rechercher des solutions. La logique voudrait pourtant que si l’on vit en Europe, l’on vive comme si un Noel et un mois de janvier blancs étaient la norme. Si cela ne se produit pas, tant mieux/pis mais quand cela arrive, on est toujours prêt.

Seuls les grands axes sont généralement salés. Les gens restent donc coincés chez eux en attendant le dégel. Il suffit pourtant de donner plus d’argent aux collectivités locales pour que chacune d’elle s’occupe de déneiger et saler la plupart de ses routes. C’est un gros budget certes, mais cela revient encore plus cher quand personne ne va travailler/à l’école pendant plusieurs jours. Par exemple, la semaine dernière, une cantine scolaire (subventionnée par la mairie) a préparé ses 600 repas habituels alors que seuls 25 élèves ont pu se rendre à l’école. Il a fallu jeter 575 repas complets (entrée, plat principal et dessert) !

Ceci me fait penser à la façon dont certains chrétiens vivent aussi leur vie : sans préparation ou prévoyance. Ils passent leur temps à réagir au lieu de pré-agir. J’ai eu un pasteur qui disait souvent: « Nous ne sommes pas de ceux qui attendent que les choses arrivent, mais de ceux qui font que les choses arrivent. » Abraham Lincoln a aussi dit que s’il avait 8h pour abattre un arbre, il passerait 6h à aiguiser sa hache. Il voulait mettre l’accent sur le temps qu’il faut investir dans la préparation quand on veut réussir : 75% de préparation (énergie, argent, analyse etc.), et puis 25% d’actions qui ne pourront ainsi, qu’être efficaces.

Dans Catalyseurs de Faveur, j’explique comment ceux qui veulent devenir un homme ou une femme selon le cœur de Dieu, doivent passer du temps dans la préparation, du temps à acquérir le caractère qui attire justement la faveur du Seigneur. D’ailleurs, la première partie du livre qui est consacrée à cette préparation, fait aussi pratiquement les trois-quarts du livre.

Ne vous laissez pas surprendre. Si vous voulez que les résolutions que vous avez prises pour 2013 se concrétisent, vous devez vous préparer en conséquence. Si vous aspirez à devenir X, Y ou Z dans 5 ou 10 ans, c’est maintenant que vous devez regarder autour de vous, voir ceux qui, comme la Russie et le Canada, ont déjà parfaitement maitrisé le processus de ce que vous souhaitez être ou obtenir, et imitez-les. Cet investissement coûte cher (temps, efforts, argent) ? Eh bien, si vous tenez VRAIMENT à réussir, rien ne vous arrêtera ; mais si vous REVEZ seulement de réussir, vous attendrez indéfiniment que les choses soient plus à la portée de votre bourse ou de votre emploi du temps.

2Ti 2:6, « Il faut que le laboureur travaille avant de recueillir les fruits. »

1Co 9:24-27, « Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu'un seul remporte le prix? Courez de manière à le remporter. Tous ceux qui combattent s'imposent toute espèce d'abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne corruptible… 26 Moi donc, je cours, non pas comme à l'aventure; je frappe, non pas comme battant l'air. Mais je traite durement mon corps... »

Tout comme les laboureurs et les athlètes, Paul s’est imposé de durs sacrifices pour atteindre ses objectifs. Je prie qu’il en soit de même pour vous.

A votre succès, et que Dieu vous bénisse!

PS: Si vous vivez au Cameroun et que vous êtes intéressé(e) ou connaissez des gens qui sont intéressés à acheter Catalyseurs de Faveur, prenez contact avec moi.

lundi 14 janvier 2013

Un pertinent rappel à l’ordre…

 

J’avais l’intention d’écrire sur un autre sujet, mais la semaine dernière, j’ai entendu quelque chose à la radio qui m’a fait et continue à me faire réfléchir. Les auditeurs étaient invités à dire ce qu’ils pensaient d’une mère qui avait donné une carte bancaire à sa fille de quatre ans. Oui, vous avez bien lu, 4 ans ! Elle lui a donné une carte bancaire et lui a appris à retirer de l’argent… au besoin.

Bien évidemment, presque tout le monde a décrié l’attitude de cette mère, parfois même assez durement. La plupart pensait, comme moi, qu’une carte bancaire ne devrait se donner qu’à quelqu’un qui est capable de comprendre le concept et la valeur de l’argent. Or à un âge où l’enfant ne sait même pas compter jusqu’à cent, dix dollars ou 1000 dollars ne représentent pas grand-chose.

Une auditrice a aussi expliqué qu’il est plus facile pour un enfant de dépenser sans compter quand il ne voit pas physiquement diminuer son argent. Ainsi, quand son ado de fille constate qu’il lui reste dix livres sterling ou moins sur les 20 que constitue son argent de poche (24 euros), elle dépense ensuite moins et fait plus attention à ce qu’elle achète car elle voit son argent diminuer. Par contre, si l’argent n’était pas physiquement dans sa main, elle n’aurait pas la même retenue.

Bref, telle était la ligne générale jusqu’au moment où une autre auditrice a appelé pour soutenir la mère. Selon elle, dans 10 ou 20 ans, les gens n’utiliseront quasiment plus de l’argent liquide. Elle a fait remarquer que de plus en plus, on pouvait difficilement faire quoi que ce soit aujourd’hui sans utiliser une carte bancaire et que bientôt, les enfants règleront la cantine scolaire avec des cartes. Il valait donc mieux leur apprendre à gérer l’argent le plus tôt possible et leur apprendre à le faire digitalement/électroniquement.

C’est là que j’ai été interpelée. Bientôt, très bientôt, on ne pourra plus RIEN faire sans carte bancaire (dans les pays développés tout au moins). Il est déjà possible de passer plus d’un mois sans devoir utiliser de l’argent liquide. On peut tout faire par cartes, chèques (de plus en plus dépassés) ou paiements et transferts en ligne. Le téléphone portable est devenu un instrument bancaire, la télévision aussi. Je peux payer mes factures de télé, téléphone fixe et internet via une application de mon téléviseur, sans que celui-ci soit connecté à un ordinateur. Vous pouvez installer une puce sur votre voiture et vous n’aurez plus besoin de vous arrêter au péage. Quand vous approchez, la puce est flashée, reconnue, le montant est automatiquement débité de votre compte et la barrière se lève devant vous. Vous n’avez plus besoin de vous préoccuper de mettre des pièces de monnaie de côté pour payer. Vous pouvez aussi vous faire implanter une puce au poignet et les formalités à l’aéroport seront facilitées. Vous flashez la puce, tous vos détails apparaissent sur un écran, vous êtes reconnu et ce qui doit éventuellement être payé est déduit de votre compte : pas besoin d’argent physique. Inutile de préciser que dans tout cela, Big Brother sait aussi exactement où vous êtes, et ce que vous faites…

Or, vers l’an 90 après Jésus-Christ, l’apôtre Jean a eu une vision de ce qui arriverait à la fin des temps. Il a vu une bête, l’Antichrist et son système, imposer à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, de recevoir une marque sur leur main droite ou sur leur front. Et personne ne pouvait acheter ou vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom (Apoc 13.16-17). 

Quand je venais de me convertir il y a 20 ans, ceci semblait absolument invraisemblable. Internet et les téléphones portables étaient inexistants et personne ne pouvait imaginer un monde où il serait impossible d’acheter ou de vendre sans argent liquide ou chèques. Aujourd’hui, il est évident pour tous que c’est pourtant dans cette direction que l’on se dirige. Il y a environ 1900 ans que Jean a vu ces choses en esprit, et elles annonçaient la FIN. Il ne s’agissait pas uniquement d’une exacte description des choses à venir, c’était une mise en garde vis-à-vis de temps difficiles. Ce fait divers m’a rappelé que tout ce que la Bible dit est vrai. Elle est véritablement la Parole de Dieu, et Jésus revient bientôt. Veillons, prions et méditons un message qui a disparu de bien des églises.

Heureux celui qui lit, qui entend les paroles de la prophétie et qui garde les choses qui y sont écrites! Le temps est proche. Que la grâce et la paix vous soient données de la part de Celui qui est, qui était, et qui vient. Apoc 1.3-4

Bonne semaine et que Dieu vous bénisse!

lundi 7 janvier 2013

Résolutions de nouvel an

 

Salut,

Je crois et je prie que vous êtes entrés en 2013 avec le bon pied. En ce qui me concerne, j’ai eu une merveilleuse fin d’année et 2013 commence globalement plutôt bien. C’est prophétiquement l’année de la multiplication dans mon église. Or, la Parole de Dieu ne retourne jamais à Lui sans faire ce pour quoi elle a été envoyée. Ainsi, en même temps que la prophétie était annoncée, nous recevions aussi la capacité de nous multiplier. Cependant, pour que cette multiplication soit effective, pour qu’elle passe du rêve/de la prophétie à la réalité, il y a certaines choses à faire.

1) Croire que Dieu va vraiment faire ce qu’Il a annoncé. Pierre a vainement passé la nuit à pécher, mais quand Jésus lui dit d’avancer en pleine mer et de jeter ses filets, il répond: « Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre; mais, sur ta parole, je jetterai le filet. » Il a donc obéi et ils ont capturé une telle quantité de poissons que leurs filets se rompaient (Lc 5.4-6). Peu importe ce qui est arrivé –ou n’est pas arrivé- par le passé, ce mois, cette année, Dieu nous offre un nouveau départ.

2) Agir. C’est l’action qui prouve qu’on a vraiment reçu la parole prophétique. Si tu crois que cet homme peut t’aider à faire une pêche miraculeuse, jettes tes filets à l’eau. Si tu crois qu’Il est la Résurrection et la Vie, roules la pierre du tombeau de ton Lazare (Jn 11.41). La foi sans les œuvres est vaine. Mon pasteur a relevé trois points d’action ou d’attention essentiels sur lesquels nous devons nous concentrer pour réussir et nous multiplier en 2013.

· Déterminer les domaines dans lesquels vous voulez vous multiplier et fixer des objectifs dans la prière. Ces objectifs doivent être clairs, précis, réalistes et mesurables. Il ne s’agit pas de dire : je vais évangéliser l’Europe en 2013.

· Identifier les qualités ou les vertus qui peuvent vous aider à accomplir ces objectifs. Il s’agit ici de travailler sur le caractère. La paresse, la procrastination, la lenteur etc., ne sont pas des choses qui vous aideront à aller loin. Il vous faudra peut-être vous lever plus tôt et vous coucher plus tard que d’habitude… Lisez Catalyseurs de faveur pour découvrir quelles sont justement les vertus qui vous aideront à vous multiplier comme vous le désirez.

· Faire le tri dans vos relations. Tout le monde ne va pas dans la même direction que vous. Certaines personnes vous tireront vers le haut, d’autres vous tireront vers le bas. Sachez qui vous êtes, où vous allez, et ne vous laissez pas distraire par qui ce soit : votre vie est bien trop précieuse. J’en parle longuement dans la deuxième partie de mon livre, Catalyseurs de faveur. Faites attention aux connexions divines et aux rencontres de destinée. Dieu va envoyer des gens vers vous, le diable aussi.

A la fin de l’année, si nous ne nous sommes pas comportés comme le mauvais serviteur qui avait enterré son talent, nous nous serons tous multipliés. Certains par deux, dix ou trente et d’autres par soixante ou plus encore (Mat 25.14-30 et 13.4-8).

Ps 37:4, « Fais de l'Éternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire. »

Encore une fois, Bonne Année 2013 et que Dieu vous bénisse!