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Bienvenue sur ''Plume de Vie'', le blog de Florence Pungong.

"Plume de Vie" propose une réflexion différente et profonde sur le sens de la foi chrétienne.

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Bonne visite et que Dieu vous bénisse !

Florence P.
En CHRIST JESUS Seul...

lundi 26 mai 2014

Bribes de révélation : Question de cœur…

 

Je devais diriger un petit moment de prière hier et le Seigneur a déposé Jean 5 dans mon cœur. Je ne sais pas combien de fois j’ai lu ce passage, pourtant, mes yeux se sont encore ouverts sur quelques perles.

Jn 5:1-9, « … Jésus monta à Jérusalem. 2 Or, à Jérusalem […] il y a une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques. 3 Sous ces portiques étaient couchés en grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l'eau; 4 car un ange descendait de temps en temps dans la piscine, et agitait l'eau; et celui qui y descendait le premier après que l'eau avait été agitée était guéri, quelle que fût sa maladie. 5 Là se trouvait un homme malade depuis trente-huit ans. 6 Jésus, l'ayant vu couché, et sachant qu'il était malade depuis longtemps, lui dit: Veux-tu être guéri? 7 Le malade lui répondit: Seigneur, je n'ai personne pour me jeter dans la piscine quand l'eau est agitée, et, pendant que j'y vais, un autre descend avant moi. 8 Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche. 9 Aussitôt cet homme fut guéri; il prit son lit, et marcha. »

Il y avait une multitude de malades autour de la piscine ; mais Jésus n’en a guéri qu’un seul. Premièrement, ceci explose le mythe selon lequel Jésus guérissait tous les malades, délivrait tous les possédés et ressuscitait tous les morts qui croisaient son chemin. S’Il l’avait fait, les apôtres n’auraient eu personne à guérir pendant longtemps. Prenons l’exemple de l’infirme devant le temple (Ac 3). Cela faisait plusieurs années qu’il mendiait là. Or Jésus était un habitué du temple. Par conséquent, Il est donc passé plusieurs fois devant cet homme sans jamais rien faire. Ceci devrait nous faire réfléchir… Il est possible de se trouver dans un endroit fréquenté quotidiennement par Jésus, sans jamais être touché ; sans expérimenter de miracle. Pourquoi ? Je reviendrais là-dessus ; mais en attendant, je prie que ceci ne soit jamais ton partage au nom de Jésus !

Ensuite, ce malade n’a rien fait qui pourrait justifier que Jésus se soit tourné spécifiquement vers lui. Le verset 13 nous apprend d’ailleurs qu’il ne connaissait même pas celui qui s’adressait à lui. En effet, s’il avait su qui était Jésus, il n’aurait pas commencé à raconter l’histoire de sa vie au lieu de répondre à une simple question. Comme Bartimée, il aurait immédiatement crié : « Jésus, Fils de David, aie pitié de moi ! » Ce n’est donc pas à cause de sa ‘grande’ foi qu’il a été guéri. Jésus a simplement décidé de lui faire grâce. C’était le jour de son salut et l’heure de sa visitation. Qu’il en soit de même pour toi au Nom de Jésus.

Enfin, la guérison miraculeuse de cet homme a laissé la foule des autres malades totalement indifférente ! J’ai réalisé ceci hier et cela m’a fait un sacré choc. Il y a des gens qui ont beau assister à toutes sortes de miracles ; ils ont beau entendre toutes sortes de témoignages, mais rien n’y fait : ça ne les touche pas. Incroyable mais vrai ! Te Souviens-tu de mon post de la semaine dernière? Les miracles ne suffisent pas. Quand cet homme s’est levé avec son lit, ceux qui étaient en face ou à côté de lui auraient dû immédiatement sauter sur l’opportunité d’être guéris au lieu de se lancer dans une course contre la montre au retour de l’ange. Ils auraient normalement dû encercler Jésus et le supplier de faire de même pour eux ; mais rien de tout ceci ne s’est produit. Tout ce qu’ils ont remarqué, et qui les dérangeait, c’était le fait que l’homme portait son lit/matelas un jour de Sabbat ! Leur cœur était si insensible, si endurci, que je comprends pourquoi un seul homme a été guéri au milieu d’une multitude de malades. En effet, à Nazareth aussi, Jésus n’a fait que très peu de miracles, à cause de l’endurcissement de leur cœur. Je prie que ce ne soit pas ton partage, au nom de Jésus ! Je prie que tu aies un cœur réceptif et rempli de foi. Je prie que le Seigneur ne t’ignore jamais au jour de la visitation. Bonne semaine en CHRIST JESUS et à bientôt.

Bribes de révélation: tout dépend de toi…

 

Jn 14.1, 27, « Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. 27 Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix... Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point. »

Il y a dix jours environ, j’ai découvert dans ces verset, quelque chose qui ne semble pas évident à première lecture. Tout d’abord, Jean chapitre 14 commence et se termine pratiquement sur l’insistance de Jésus « que nos cœurs ne se troublent point. » Quand on lit ces versets en français, on peut facilement passer à côté de notre responsabilité individuelle. En effet, les versions anglaises ont : « Let not your hearts be troubled, neither let them be afraid. » Autrement dit, « Ne laissez pas, ne permettez pas à vos cœurs de se troubler ou de s’alarmer. » Ce verset n’est pas simplement une exhortation ou un encouragement ; c’est un commandement. Un chrétien ne doit pas permettre à son cœur de s’alarmer ; ce serait manquer de foi. C’est pour cela que Jésus dit au vs 1 : « Croyez en Dieu et croyez en Moi. » Il fait un lien direct entre la foi et le cœur qui n’est point troublé. D’ailleurs, dans la King James Version, le vs 1 n’a pas deux phrases mais une seule : « Que votre cœur ne se trouble point : Croyez en Dieu, et croyez en moi. » C’est la même idée qui continue.

Celui qui vit à l’intérieur d’un palais royal ou présidentiel ne se soucie pas de sa nourriture ou de son transport. Même si une terrible famine sévit dans le pays, il aura toujours à manger. Même si le prix du pétrole flambe n’importe comment, il y aura toujours une voiture et un chauffeur pour le conduire là où il/elle veut aller. Tu ne peux pas non plus être EN Christ et paniquer. Être EN Christ, c’est être immergé dans un océan surnaturel de paix. Si tu perds la paix, tu t’es aventuré en solitaire quelque part. Demande-toi où tu as laissé le Prince de Paix, et va Le retrouver. La balle est dans ton camp, TOUT dépend de toi.

Paul nous donne aussi plus qu’un conseil ; il nous ordonne de ne pas nous inquiéter de quoi que ce soit, mais de nous tourner vers Dieu par la foi, afin que la paix de Christ demeure : « Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées EN Jésus Christ. » Phil 4.6-7 Ensuite, au vs 8, il ajoute : « Que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées. » Ainsi, nous devons-nous tenir en permanence comme des vigiles devant l’entrée de nos pensées : « C’est bon, tu es pure, tu peux entrer. Toi, tu n’es pas aimable, déguerpis. Où tu vas, toi pensée peu vertueuse ? Fous le camp. Ok, toi tu es juste, reste. »

Imitons David. Voici ce qu’il faisait pour ne pas laisser son cœur s’alarmer. Il disait : « Mon âme, bénis l'Éternel! Que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom! Mon âme, bénis l'Éternel, Et n'oublie aucun de ses bienfaits! » (Ps 103 :1-2) On peut lire ceci et voir uniquement un homme qui loue Dieu pour Ses bienfaits. Mais on peut aussi voir un homme qui prend le contrôle de son âme et qui la met au pas. « Je m’adresse à toi, mon âme/mon être/mon cœur et je t’ordonne de bénir le Seigneur ! » Va et fais de même.

Shalom !

lundi 19 mai 2014

Choisis la bonne part : Grandis !


Mc 7:27 Laisse d'abord les enfants se rassasier; car il n'est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens.

Jésus s’adresse ainsi à une syro-phénicienne, une païenne, qui Le supplie de chasser le démon qui tourmente sa fille. En général, le pain fait référence à la Parole de Dieu (Mat 4.4, Jn 6) ; mais ici, la femme demande spécifiquement un miracle. Ce sont donc les miracles que Jésus appelle le pain des enfants. En effet, ce sont les enfants, les bébés spirituels, qui courent après les miracles et qui peuvent facilement être séduits (Mat 24.24). Les adultes mangent un autre pain : la nourriture solide ou parole de justice (1Cor 3.2, Hé 5.12-14). Les miracles ne seront jamais suffisants pour asseoir la foi. En effet, Jésus vient juste de multiplier les pains et les poissons, quand les pharisiens Lui demandent néanmoins un signe venant du ciel – je ne sais pas d’où ils pensaient que la multiplication des pains ! Plus tard, devant la Croix, ils ont encore osé dire : « S'il est roi d'Israël, qu'il descende de la croix, et nous croirons en lui » (Mc 8.11, Mat 27.42). C’était comme si Jésus n'avait jamais rien fait.

Si les miracles sont la raison principale pour laquelle tu te rends à l’église ; alors quelque soit ton titre ou ta position à l’église, tu n’es encore qu’un enfant

Quand Jésus part, ses dernières instructions sont : « Faites de toutes les nations des disciples… et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. » Il n’a pas dit : « Convertissez-les à coup de miracles » ; mais, « Gagnez le monde, éduquez-le, changez-le sa façon de penser, renouveler sa mentalité et son intelligence par l'enseignement de ma Parole/ mes prescriptions. »

Je ne veux pas donner de pourcentage, mais miracles comptent pour très peu dans la foi. Marc 8.14-21, montre comment les disciples ont été témoins directs de la multiplication des pains et des poissons ; mais ce miracle ne les a nullement aidés à avoir la foi. Jésus est obligé de leur demander : Avez-vous le cœur endurci ? Ne comprenez-vous pas encore?

Il y a deux jours, dans une réunion de prière, une sœur nous a rappelé que quand nous lisons en Jn 14.12 que : « Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes…», nous pensons immédiatement aux miracles de guérison, résurrection des morts etc. Cependant, disait-elle, ce que Jésus a le plus fait, c’était la compassion ; c’était aimer les gens. Et elle a raison. J’ai d’ailleurs écrit un article sur la compassion comme instrument de miracles. Je voudrais ajouter à cela que l’autre chose que Jésus a abondamment faite, c’est donner/partager la Parole par l’enseignement ou la prédication. Nous devons faire en ce domaine, beaucoup plus qu’il n’a fait. C’est pourquoi Paul demande à Timothée de prêcher la Parole en tout temps, favorable (selon nous) ou non. Soyons généreux avec la Parole de Dieu. Et puisque nul ne peut donner ce qu’il n’a lui-même reçu, commençons par changer d’alimentation. Modifions notre régime ; abandonnons le pain des enfants pour la nourriture solide : la Parole de justice.

« Le ciel et la terre [et toutes sortes de miracles] passeront, mais mes paroles ne passeront point. » Mat 24:35

Bonne semaine et à bientôt!

lundi 12 mai 2014

Bribes de sagesse : ‘Photo – copie’

 

Jn 5:19-21, Jésus reprit donc la parole, et leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu'il voit faire au Père; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement. Car le Père aime le Fils, et lui montre tout ce qu'il fait; et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l'étonnement. Car, comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, ainsi le Fils donne la vie à qui il veut.

Jésus pouvait ressusciter les morts et accomplir toutes sortes de prodiges parce que Son Père, Dieu, Lui montrait TOUT ce qu’Il faisait. Et Il le Lui montrait parce qu’Il L’aimait. Jésus a promis que nous serions capables de faire tout ce qu’Il a fait, et même davantage (Jn 14.12). Cependant, comme Lui, nous ne DEVONS RIEN faire de nous-mêmes et nous ne POUVONS RIEN faire sans Lui (Jn 15.5). Autrement dit nous n’allons nulle part et nous ne faisons rien sans Lui, ni en intention, ni en action. Par contre, nous pouvons également devenir des agents de miracles, si nous observons (photo) ce que Jésus fait et que nous le copions. En effet, si nous imitons Jésus et que Lui imite Dieu, nous imitons Dieu. Ceci suppose l’intimité et l’amitié ; car on ne peut pas copier de loin. Il faut se tenir le plus près possible pour entendre, voir et copier parfaitement. Par ailleurs, c’est aux amis et non aux étrangers que l’on révèle ses secrets. C’est avec ses amis que l’on se montre transparent et Jésus est prêt à montrer à Ses amis, TOUT ce qu’Il a appris de Son Père. Pour bénéficier de l’intimité et de l’amitié du Seigneur, nous devons demeurer dans Sa présence. Mais pour désirer Sa présence au point de vouloir y demeurer, il faut L’aimer de tout son cœur ; car l’amour est comme une drogue qui détourne toutes les pensées et toutes les affections vers l’être aimé. Or quand on aime, la prière, la louange, l’adoration, l’action de grâce, le service, l’obéissance et la méditation de la Parole de Dieu – des choses qui entretiennent la présence de Dieu –, viennent naturellement et sans effort. Je résume : nous pouvons faire ce que Jésus a fait et même davantage. Il suffit :

  1. De croire que c’est possible parce qu’Il l’a dit
  2. De devenir Ses amis et Ses intimes afin de voir / comprendre ce qu’Il fait et de le reproduire : c’est la photocopie.

Je prie que vous découvriez quelque chose de nouveau à copier et à reproduire dans Sa présence cette semaine. A bientôt.

lundi 5 mai 2014

Tu en as en réalité plus qu’assez…

 

Jn 6:5-7, Ayant levé les yeux, et voyant qu'une grande foule venait à lui, Jésus dit à Philippe: Où achèterons-nous des pains, pour que ces gens aient à manger? 6 Il disait cela pour l'éprouver, car il savait ce qu'il allait faire. 7 Philippe lui répondit: Les pains qu'on aurait pour deux cents deniers ne suffiraient pas pour que chacun en reçût un peu.

La Bible nous recommande de rendre grâces à Dieu en toutes choses. Mais pour bien le faire, il faut déjà être conscient que l’on a quelque chose. Le monde est rempli de personnes qui « n’ont jamais rien ou assez ». Pourquoi ne te lances-tu pas dans tel business ? « Je n’ai pas de capital. Si seulement j’avais autant d’argent, je pourrais… J’ai besoin de sponsors » Dans ce cas, révise tes projets à la baisse ! Commence quelque chose à la mesure du capital que tu possèdes et regarde le Seigneur multiplier tes revenus.

Pourquoi tu n’es pas parti à… ? « Oh, je n’avais pas d’argent pour acheter de nouveaux habits et de nouvelles chaussures ? » En attendant ‘mieux’, rends déjà grâce pour les vêtements que tu as et sois en fier quand le Seigneur voudra t’en donner davantage, Il le fera.

Ça fait trois heures que ces gens sont chez toi, tu ne leur as toujours pas servi à boire ou à manger ; pour quoi ? « Est-ce que je les ai invités ? Il ne reste qu’une cannette de Coca, deux ailes de poulet et un peu de riz. Je n’ai pas assez pour moi-même et vous voulez que je partage. De toutes les façons, ça ne peut pas suffire pour tout le monde ; donc, autant ne rien donner. »

Comme Philippe et comme plusieurs d’entre nous, la veuve du prophète croyait aussi qu’elle n’avait rien d’autre qu’un tout petit peu d’huile à la maison. Rien qui pouvait l’aider à payer ses dettes. Mais, comme les 5 pains, c’est pourtant ce peu d’huile que Dieu a multiplié et utilisé (2R 4).

De ce texte, je retiens que si nous voulons expérimenter le miracle de la multiplication et de la provision surnaturelle, deux choses sont indispensables :

1. La générosité de cœur. Celui qui n’a pas le cœur suffisamment large pour être prêt et disposé à partager ses ‘maigres’ ressources avec autrui n’est pas non plus prêt de voir Dieu agir puissamment dans sa vie. Tant que la main est fermée, on ne peut rien y mettre. Il faut d’abord apprendre à ouvrir la main pour se séparer de ce qu’on a, avant de l’ouvrir pour recevoir. C’est pour cela que j’ai écrit par le passé, que la compassion était l’une des clés de la provision.

2. Une profonde gratitude. On ne peut pas avoir plus si on n’est pas déjà pleinement reconnaissant du ‘peu’ que Dieu a bien voulu nous donner pour l’instant. Beaucoup de personnes sont comme le mauvais serviteur de la parabole des talents (Mat 25). Il a méprisé/négligé ce qu’il avait. Par contre, le deuxième serviteur n’a pas dit : « Deux talents ! Qu’est-ce que je peux bien faire avec deux talents ? Pourquoi il ne m’a pas aussi donné cinq talents comme à l’autre ? Si j’avais reçu cinq talents, j’aurai au moins pu X, Y et Z avec. » Non. Il a plutôt réfléchi à ce qu’il pouvait faire avec ses ‘maigres’ deux talents et très vite, les deux sont devenus quatre, puis huit, puis… c'est-à-dire beaucoup plus que ce que le premier serviteur avait même eu. Dieu sait exactement ce dont nous avons REELLEMENT besoin ; et s’Il ne nous a pas encore donné ce dont nous CROYONS avoir besoin, c’est que TOUT ce que nous avons en ce moment suffit largement. Si nous remercions sincèrement le Seigneur pour tout cela et que nous recherchons des moyens de le multiplier et de le partager, nous ne tarderons pas à voir les miracles de provision se multiplier dans notre vie.

Bonne semaine en CHRIST !