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Bienvenue sur ''Plume de Vie'', le blog de Florence Pungong.

"Plume de Vie" propose une réflexion différente et profonde sur le sens de la foi chrétienne.

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Bonne visite et que Dieu vous bénisse !

Florence P.
En CHRIST JESUS Seul...

mardi 24 février 2015

Tout ce qui est à moi est à toi (II) : L’autorité

Voici ce que la Bible dit de Christ Jésus : 
Tout pouvoir Lui a été donné sur la terre comme au ciel (Mat 28.18) –  tout pouvoir, c’est TOUT pouvoir. Au Nom de Jésus, tout genou tremble dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et toute langue confesse qu’Il est Seigneur (Phil 2.10). Dieu L’a ressuscité des morts et L’a fait asseoir à Sa droite dans les lieux célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir. Il a tout mis sous ses pieds, et il L’a donné pour chef suprême à l’Église (Eph 1.20-22). L’ennemi est son marchepied (Mat 22.44, Heb 1.13 & 10.13). 

Or voici aussi ce que la Bible dit de nous :
Nous avons été ressuscités avec Christ et nous sommes assis en Lui dans les lieux célestes (Eph 2.6) – nous sommes donc dans une position de domination. Une position d’où nous pouvons avoir une vision panoramique des choses et des évènements. Être assis implique par ailleurs confort et absence de stress.
Nous ne luttons pas contre la chair et le sang, mais contre les dominations, les autorités, les princes de ce monde de ténèbres et les esprits méchants dans les lieux célestes. Et nous avons toutes les armes de Dieu à notre disposition pour pouvoir leur résister et tenir ferme après avoir tout surmonté (Eph 6.12-13). En effet, nous avons reçu le pouvoir de marcher sur toute la puissance de l’ennemi (Luc 10.19) et c’est à l’Église de faire connaître aux dominations et aux autorités spirituelles, la sagesse infiniment variée de Dieu (Eph 3.10). 

Autrement dit, il n’y a RIEN, absolument RIEN ; ni dans les cieux, ni sur terre ; aucune situation, aucun problème, aucune personne, aucun patron et aucune autorité, qui peut résister et refuser de se plier à ce que Jésus a décidé. Certaines choses persistent uniquement parce qu’Il n’a pas encore dit un mot à ce sujet. Mais il suffit qu’Il dise un mot, et la situation ne sera plus ; s’Il affranchit, s’Il libère, RIEN ne peut s’y opposer. Pourquoi donc ne dit-Il mot ? Pourquoi n’intervient-Il pas ?

Parce que les cieux sont les cieux de l’Éternel, mais Il a donné la terre aux fils de l’homme (Ps 115.16). Dieu a délégué son autorité et Il respecte cela. Cependant, Jésus a promis que ce que nous lions/délions sur terre sera lié/délié dans les cieux (Mat 18.18). Si le chaos règne, ce n’est pas la faute du Seigneur ; c’est l’Église qui ne fait pas son travail. Au lieu de lier les oppresseurs et de délier les opprimés, elle s’est lancée dans une poursuite effrénée du confort et du pouvoir politique et économique. Au lieu d’intercéder, elle donne dans les commérages. Quand le pays va mal, elle critique et envoie des pétitions et pendant ce temps, Dieu dit : « Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas; mais je n’en trouve point » (Ez 22.30) !
La vie et la mort sont au pouvoir de la langue (Pr 18.21) ; mais au lieu d’utiliser le pouvoir prophétique de sa langue pour lier et délier, l’Église maudit le pays. Comment ? C’est ce qui arrive quand les chrétiens font des confessions négatives, généralement sans s’en rendre compte. « Rien ne va dans ce pays. Le pays est maudit… Il n’y a plus d’emplois… Il n’y a pas d’argent dans le pays. C’est impossible de trouver du travail si on n’appartient pas à un réseau de franc-maçonnerie ou autre… On ne pourra jamais gagner les élections honnêtement… Tous les ministres sont corrompus… » On ne se rend pas compte qu’en parlant ainsi, on ne fait qu’amener le fruit de nos déclarations à l’existence et après, l’on s’étonne que l’état de nos vies, de nos familles ou de notre nation soit ce qu'il est.

Il est temps de changer de discours. 
Il est temps de reprendre le contrôle. Si Satan est le marchepied du Christ, et que Jésus est la Tête et non les pieds de l’Église (Col 1.18), alors c’est l’Église qui marche en réalité sur le diable. C’est Elle qui marche sur TOUTE la puissance de l’ennemi et rien ne peut lui nuire. Utilisons notre autorité spirituelle à bon escient et écrasons-lui enfin la tête ! 

Parlez juste, passez une excellente semaine en Christ Jésus et que Dieu vous bénisse!

mardi 17 février 2015

Tout ce qui est à moi est à toi (I) : l’Épouse

L’Église est faible ! L’Église et Son Seigneur sont traités n’importe comment dans les médias ; nos libertés sont de plus en plus restreintes. Et l’on ne fait rien. Il y a tellement de promesses bibliques que nous sommes supposés expérimenter, mais rien ne se passe. Et comme rien ne se passe, on fait semblant. Où est passé « l’Appui et la Colonne de la Vérité » (1Tim 3.15) ? Où sont passés ces gens qui avaient bouleversé leur monde et dont tout le monde avait peur (Ac 17.6) ? Pourquoi n’expérimentons-nous pas la plénitude ?
Une grande partie du problème vient du fait que l’Église s’est perdue quelque part et elle ne sait plus ni qui elle est, ni ce qu’elle a. Pierre pouvait dire : « Je n’ai ni argent, ni or; mais ce que j’ai, je te le donne: au nom de Jésus- Christ de Nazareth, lève- toi et marche » (Ac 3.6) parce qu’il savait ce qu’il possédait. Aujourd’hui, l’église pourrait difficilement dire la même chose. Voilà pourquoi je voudrai commencer une série sur l’identité qui est la nôtre en Christ. Si tu ne sais pas qui tu es et ce que tu as, tu ne sauras pas non plus ce que tu peux ou dois faire. Commençons avec l’Église comme Épouse de Christ.

À l’exception de quelques pays, quand une jeune fille se marie, elle prend le nom de son époux et acquiert ainsi une nouvelle identité. D’une certaine manière, elle vit désormais à travers son mari. Si la mariée décide de garder son nom, ou refuse d’abandonner son ancienne vie ; si elle passe le temps à rappeler à son époux que c’était mieux chez son père ou quand elle était célibataire, il y a un problème. Quand nous acceptons Jésus comme Époux, nous changeons aussi de nom : nous devenons Chrétiens, « Christ-iens ». On doit désormais tourner le dos à notre passé et construire notre vie avec le Christ. On ne s’appartient plus, on appartient à quelqu’un d’autre.

Le zèle de notre nouvelle maison doit nous dévorer. En effet, l’une des plus grandes fiertés d’une épouse, c’est son foyer ; c’est que les visiteurs admirent l’endroit où elle vit avec son époux. L’Église devrait donc rechercher les intérêts du Royaume avant toute autre chose ; mais son cœur, le cœur des chrétiens est malheureusement ailleurs aujourd’hui. Il est tourné vers le Moi, Mammon et le Monde.   
De la même manière que c’est l’épouse qui gère habituellement le foyer, décide des menus, s’occupe des courses de tous les jours et distribue les tâches etc. L’Église est supposée gérer et administrer la terre. Rien ne devrait se faire sans sa permission ; mais on constate au contraire qu’elle est bâillonnée et elle semble avoir les pieds et les poings liés. Elle devrait intimement connaître le Seigneur, connaître Ses secrets ; mais c’est aussi de moins en moins le cas. 

La femme est la gloire de l’homme (1Cor 11.7b). Un bon mari comble sa femme d’affection, d’amour, de bijoux, d’honneur et j’en passe. Il peut être vêtu simplement, mais quand vous voyez sa femme passer, vous comprenez rapidement qui il est. Dès qu’une épouse cesse de refléter la gloire de son époux ; quand on voit une épouse négligée, c’est qu’il y a un problème : un problème d’adultère, d’ignorance ou de communication. Cela témoigne aussi toujours de ce que l’amour est en crise dans ce couple. Jésus est un bon mari. Il nous a aimés plus que Sa propre vie et Il nous donne accès à tout ce qu’il a. 

Col 2.10, « Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité. » 

Si nous avons TOUT PLEINEMENT en Lui ; si nous sommes réellement UN avec Lui et si TOUT ce qui est à Lui est aussi à nous et que nous pouvons en jouir aussi librement que n’importe quelle épouse jouit de ce qui appartient à son époux ici-bas ; alors, pourquoi vivons-nous une vie au rabais ? Pourquoi connaissons-nous le manque, les limitations, la faim, la soif, le chômage ou la pauvreté ? Pourquoi nous accommodons-nous facilement de ne pas vivre cette réalité/promesse de l’Écriture ? La faute n’est pas du côté de Christ, mais de l’Église qui doit se demander si elle est une bonne épouse et corriger le tir au besoin.

Il y a tellement de choses que je pourrai écrire, à partir de cette analogie époux-épouse, pour expliquer quels sont nos privilèges, droits et devoirs en Christ. Mais l’article est déjà beaucoup plus long que je ne le souhaitais. Je prie que le St-Esprit continue à vous éclairer là-dessus.

Souvenez-vous: Nous avons TOUT pleinement en Lui. Tout ce qui est à Lui est à nous. 
Allez et expérimentez la plénitude en Christ.
Bonne semaine et que Dieu vous bénisse!

lundi 9 février 2015

Quand mourir est salutaire…

« Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu’il nous écoute, quelque chose que nous demandions, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée. » 1Jn 5.14-15

Dieu n’a qu’un seul intérêt et un seul but, c’est que Sa volonté soit faite. Or ce texte signifie justement que TOUT ce que nous demandons ou déclarons selon la volonté de Dieu s’accomplira. Pour avoir 100% d’exaucement dans la prière, il faut prier selon la volonté de Dieu → il faut connaître Sa volonté → il faut sonder les Écritures → il faut confesser la Parole de Dieu. C’est pourtant si simple ; mais les chrétiens préfèrent vivre avec 5 à 10% d’exaucement plutôt que de payer le prix nécessaire à 100% d’exaucement. Pourquoi ?

1. Par paresse. Ils ne veulent pas investir de temps dans l’étude de la Bible. Entre le sommeil, le boulot, Facebook, Instagram, Snapchat, WhatsApp, les jeux sur leurs tablettes ou leurs téléphones et la télé, Dieu peut Lui-même constater qu’il ne leur reste plus beaucoup de temps. Si Dieu voulait bien leur donner des journées de 30h au lieu de 24h, peut-être que…  

2. Par peur de mourir. C’était le dilemme des israélites. « Voici, l’Éternel, notre Dieu, nous a montré sa gloire et sa grandeur, et nous avons entendu sa voix du milieu du feu; aujourd’hui, nous avons vu que Dieu a parlé à des hommes, et qu’ils sont demeurés vivants. Et maintenant pourquoi mourrions-nous ? Car ce grand feu nous dévorera; si nous continuons à entendre la voix de l’Éternel, notre Dieu, nous mourrons… 27 Approche, toi, et écoute tout ce que dira l’Éternel, notre Dieu; tu nous rapporteras toi-même tout ce que te dira l’Éternel, notre Dieu; nous l’écouterons, et nous le ferons. » (Deut 5.24-25, 27)
Ils venaient de découvrir que Dieu pouvait parler aux hommes et que ceux-ci pouvaient demeurer vivants. Néanmoins, ils craignaient quand même de 'mourir' s’ils continuent à entendre la voix de Dieu ! Il ne s’agissait donc pas vraiment de mort physique. Ils avaient peur que Sa voix – ce que Dieu dit ; la Parole de Dieu– tue leurs désirs, leurs plans, leurs rêves, leurs projets, leurs désirs et leurs ambitions. 

Ma fille m’a dit un jour qu’elle ne voulait pas demander à Dieu Sa volonté dans certains domaines, parce que quand elle l’avait fait par le passé, Il était allé à l’encontre de ses désirs. Elle en avait donc conclu que Dieu ne voulait pas son bonheur. Passons sur le fait que sa remarque suggère qu’elle pense savoir, mieux que Dieu, ce qui est bien pour elle. Croire que Dieu ne veut pas son bonheur revient à croire que Dieu ne veut pas qu’on jouisse pleinement de la vie. Autrement dit, si je m’approche de Lui, Il va m’interdire ceci ou cela. Beaucoup de gens évitent de lire la Bible ou de mettre les pieds à l’église pour les mêmes raisons : « Si je le fais, celui ou celle que j’étais jusqu’à présent va mourir. » On préfère alors faire de la sous-traitance. Les israélites ont demandé à Moise de leur rapporter les paroles du Seigneur et ils ont promis de les écouter. Mais par la suite, chaque fois que Moise leur a fait connaître la volonté de Dieu, ils ont murmuré et se sont rebellés. 

Quel est ton problème ? Tu dis que tu veux réussir ; tu veux que Dieu exauce les désirs de ton cœur et qu’Il ne te refuse pas ce que demandent tes lèvres (Ps 21.2) ; mais tu ne pries pas selon sa volonté. Tu veux réussir, mais le livre de la Loi que tu dois méditer jour et nuit  à cet effet, est éloigné de toi (Jos 1.8). Tu veux réussir, mais tu ne veux pas chercher Dieu par toi-même et quand ceux qui L’ont trouvé te rapportent ce qu’Il a dit, tu discutes et tu t’énerves ! Que veux-tu réellement ? Veux-tu vraiment réussir ? Si oui, pourquoi as-tu peur de mourir ? 

Laisse la Parole de Dieu – la Loi de la liberté, la vérité qui affranchit, le miroir du ciel et de l’âme dans lequel nous plongeons les regards – tuer tout ce qui n’est pas de Dieu en toi et autour de toi. Si le grain de blé ne tombe en terre et ne meure, il ne peut pas porter beaucoup de fruits. Jésus a reçu le Nom au-dessus de tout nom après avoir accepté de mourir sur la Croix. 

Paul pouvait dire : « Ces choses qui étaient pour moi des gains, je les ai regardées comme une perte, à cause de Christ. Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l’excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur [la connaissance de Sa volonté], pour lequel j’ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ, et d’être trouvé en lui, non avec ma justice… mais avec celle qui s’obtient par la foi… Afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort… » (Phil 3.7-10) 

Il faut qu’Il croisse et que tu diminues (c.à.d. que ton dieu ‘Moi’ meure; Jn 3.30). Penses-y et bonne semaine.

Que Dieu te bénisse !

lundi 2 février 2015

La lettre tue, c'est l'Esprit qui vivifie…

La Bible déclare que ceux du peuple qui connaîtront leur Dieu agiront avec fermeté ou feront des exploits, selon d’autres versions (Dan 11.32). Cependant, j’ai réalisé quelque chose hier. Jésus a 12 ans quand ses parents, Marie et Joseph, l’oublient à Jérusalem après un pèlerinage. Ils finissent par le retrouver au bout de trois jours et Marie lui dit : « Mon enfant, pourquoi as-tu agi de la sorte avec nous? Voici, ton père et moi, nous te cherchions avec angoisse. » Jésus répond, « Ne saviez-vous pas qu’il faut que je m’occupe des affaires de mon Père ? » Il est évident qu’Il ne parle pas de Joseph. Autrement dit, à 12 ans, Jésus connait déjà bien son vrai Père (Dieu) et leur intimité est telle que Dieu dira plus tard, lors de Son baptême: « Celui-ci est mon fils bienaimé en qui J’ai mis toute mon affection » (Luc 2.42-49, Mat 3.17). Pourtant, en dépit de cette intimité grandissante, en dépit de Sa connaissance de Dieu, Jésus est toujours inconnu. Il ne fait pas d’exploits… Toujours à 12 ans, Jésus est déjà l’incarnation du Verbe. Il connait si bien les Écritures que les théologiens de l’époque en sont baba. Cependant, hormis épater la galerie, Son impressionnant savoir ne semble pas produire beaucoup de fruits. Ce n’est pas une démonstration d’Esprit et de puissance (1Cor 2.4). La lettre tue, c'est l’Esprit vivifie (2Cor 3.6).

Les pharisiens, les sadducéens et les scribes étaient aussi versés dans les Saintes Écritures, mais Jésus les a qualifiés de tombeaux blanchis. Ils étaient si étrangers aux miracles et à la puissance de Dieu qu’ils ont accusé Jésus d’opérer des signes par la puissance de Satan. Ils ne faisaient pas le rapport entre ce qu’ils lisaient et enseignaient d’une part et ce qu’ils voyaient Jésus faire d’autre part. La lettre tue, c’est l’esprit vivifie. Beaucoup de prêtres, de pasteurs, de théologiens et de chrétiens sont aujourd’hui dans la même situation. Ils sont remplis de versets bibliques et de doctrines, mais sans vie - comme dans la vallée des ossements. En effet, Ézéchiel regardait les ossements et vit qu'il leur vint des nerfs, de la chair et la peau ; mais il n’y avait point en eux d’esprit (Ez 37.8). Extérieurement, tout semblait parfait, mais ce « truc » ne pouvait rien faire, car il n’y avait pas de vie, d’esprit.

Pendant longtemps, Jésus était également dans cet état; Il était également comme tous ces pharisiens. Même quand l'Esprit de Dieu est descendu sur Lui après son baptême et qu'Il a été rempli du Saint-Esprit (Luc 4.1), Il restait toujours inconnu. Sa vie semblait comme bloquée quelque part et Il était incapable d’accomplir Sa mission. Puis un jour, Il s’est rendu dans le désert. Il a jeuné pendant 40 jours. Il a résisté au diable et Il est retourné en Galilée revêtu de la puissance du Saint-Esprit et sa renommée s’est répandue partout comme une traînée de poudre. À partir de ce moment, Ses paroles ont cessé d’être comme les paroles de tout le monde. Elles sont devenues 'Esprit et vie' (Jn 6.63). Ceux qui l’écoutaient trouvaient qu’Il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme les scribes. Ils disaient que jamais personne n’avait parlé comme Lui. Les miracles ont commencé à pleuvoir. La vie et la mort étaient désormais effectivement au pouvoir de Sa langue.

Qu’en est-il de toi et de moi ? Quelle proportion de tes paroles s’accomplit réellement? Comme tu peux le constater, quelqu'un peut être rempli de paroles (versets bibliques) et même rempli du St-Esprit et cependant demeuré ignoré, caché et sans puissance. Elie était un homme comme nous et ce qu’il disait s’accomplissait, même des choses aussi extraordinaires que retenir la pluie pendant trois ans (Jac 5.17-18)! Dalida chantait « Paroles, paroles, paroles… » Beaucoup de bruit pour rien. Aie de l'impact cette année. Utilise la Parole de Dieu comme un dieu, le dieu que tu es effectivement. Déclare une chose et qu’elle soit établie au nom de Jésus.

Je te souhaite une semaine de puissance et que Dieu te bénisse.